Le rendez-vous était fixé à 12h00 samedi 11 Juillet à Isola village, petite piste au bord de la Tinée.
Après le pique-nique, les randonneurs (4) se sont engagés sur le sentier abrupt le long de la cascade du Louch pendant que les vététistes (6) empruntaient une piste plus abordable pour faire une boucle autour de ce même lieu. Si ces derniers se sont quelque peu perdus dans les fraises des bois et les framboises, un portable s’y est aussi égaré Logement et repas prévus au centre de vacances du Rabuons à Saint-Etienne de Tinée.Dimanche, les vététistes ont rejoint pour le pique-nique les marcheurs au col d’Annelle entre Saint-Etienne de Tinée et Saint-Dalmas le Selvage.
Trois heures de montée pour un peu plus de 600 m de dénivelé. Magnifique montée surplombant Saint-Etienne et Domandols. Les vététistes sont ensuite redescendus par Saint-Dalmas pour un petit café et une petite draille en balcon dans la verdure ombragée jusqu’à Saint-Etienne en prenant le temps en route « d’un petit trempage » dans la Tinée. A la soirée barbecue du Rabuons, Gérard a pu manger : les clés et le portable étaient retrouvés. Ce soir là, ce n’est plus Gérard qui a fait son show mais bien Romane qui est montée sur scène à la soirée de l’Illusionniste au grand plaisir de « Pépé ».Lundi, journée ludique avec montée en télécabine et télésiège pour tout le monde, pique-nique sur les sommets de la station d’Auron.
Le retour s’est fait en siège pour les marcheurs un peu fatigués de la rando. Les vététistes ont quant à eux  profiter d’une longue et sublime descente en VTT  par le vallon du Domandols avec encore un petit bain en torrent. Romane et Patrice nous ont abandonné trois heures pour assister aux repas des Loups à Saint-Martin de Vésubie mais pour nous retrouver le lundi soir sous un magnifique feu d’artifice au-dessus de la Tinée.Merveilleux week-end de pistes, sentiers et drailles variés au frais, au calme et sous le soleil…Merci Jean-Claude de nous avoir concocté ce programme pour le 14 juillet 2015, même s’il a été quelque peu modifié pour cause de fermeture d’une partie « des chemins de l’énergie ».